J’ai levé les yeux juste à temps
pour enfin voir ce beau géant
que j’avais pas r’marqué avant
et qui, s’il pouvait me parler
pourrait peut-être me raconter
un dimanche passé dans Villeray
à jouer à’ corde à danser
chez ma grand-mère Alice Côté…
Je me suis amusée avec l’image, bien sûr.
Reste que je n’ai rien changé à sa taille par rapport au reste.
Ce n’est pas une illusion. C’est un géant. Un magnifique géant.
Qui s’élève bien au-dessus d’un duplex. Impressionnant qu’il est.
Et tiens, pourquoi pas : si vous me dites où il se trouve,
je vous envoie par la poste un exemplaire de Traces.
Pas facile, je sais. Mais drôle, non?
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