Le grand parapluie

C’est une merveille d’ignorer l’avenir. Marguerite Duras

elle courait vite
j’avoue
et moi qui ne disais plutôt rien
mais le bonheur t’arrêtes ça où?
bref, v’là le parapluie parti de travers
et son long petit corps attiré par terre

enfin, à la fin
à quelques chaudes larmes de là
grands pas et petits pas
elle et moi ne regrettions rien

PENDANT LE BONHEUR Hier, dans Rosemont Petite-Patrie, Montréal

PENDANT LE BONHEUR
Hier, dans Rosemont Petite-Patrie, Montréal

14 réponses à Le grand parapluie

  1. Miss Top Loulou

    Un petit topo si joli… au moins autant que la frimousse de cette jeune demoiselle! Ça commence bien la semaine de lire ton poème, talentueuse Caroline!

    J’aime

Laisser un commentaire