C’est une merveille d’ignorer l’avenir. Marguerite Duras
elle courait vite
j’avoue
et moi qui ne disais plutôt rien
mais le bonheur t’arrêtes ça où?
bref, v’là le parapluie parti de travers
et son long petit corps attiré par terre
enfin, à la fin
à quelques chaudes larmes de là
grands pas et petits pas
elle et moi ne regrettions rien
Tres beau titre !
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Merci Sylvie! 🙂
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Du réel pris sur le vif avec tendresse et poésie
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Elle inspire la tendresse, cette enfant. Merci pour ton mot, Dominique.
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Ce poème amène bien de la légèreté à ma matinée ! Merci bien Caroline.
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J’en suis heureuse, Gilles.
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quelle belle photo une fois de plus…tant de vie….et j’aime le texte…
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un grand MERCI vers toi…
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J’aime…beaucoup !
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Merci… bôcou!
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Un petit topo si joli… au moins autant que la frimousse de cette jeune demoiselle! Ça commence bien la semaine de lire ton poème, talentueuse Caroline!
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Merci pour tes mots, Louise! Et c’est l’fun de recevoir un petit mot de toi. 🙂
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Jouer sous la pluie et sauter dans les flaques… oui, ça aussi, c’est du bonheur!
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Tout ça, oui. 🙂
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