nuit blanche et matin noir
sur de grandes eaux sauvages
le coeur trop lourd
l’âme naufrage
t’as débarqué chez moi
pour faire dévier l’histoire
on a marché lentement
jusqu’au coeur de la ville
trouvant entre les mots ce qui ne se dit pas
le soleil accroché sous chacun de nos pas
le temps gagne à passer
vers des mers plus tranquilles
REFLETS ET AUTRES RUPTURES
prise à travers la fenêtre du Quat’sous, 24 mai 2015
Si j'étais un arbre 
C’est beau. Très. Les mots, la photo. Vraiment. À qui le coeur lourd?
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À qui l’a… ;-
… merci.
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Très beau; la photo parfaite dans ses tonalités et ses lignes
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Merci Dominique…
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Wonderful!
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Thank you Harrie!
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J’aime beaucoup la conclusion (et très jolie photo) 🙂
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Merci, Sylvie.
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The old city with the wrinkles of age texturing its skin. Your words made me remember some special shared walks. Thanks Caroline. A smile from far away.
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And a smile back to you, Francis!
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j’y reviens aujourd’hui….car je le trouve si profond et beau…belle journée à toi caroline..
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tu passes quand tu veux, irène… sourire… et belle fin de journée à toi…
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Very Beautiful
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Thanks.
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