assise là
je sens à peine le vent
froid malgré l’été
et la douche qui crie
faudrait réparer
mais on se fait à tout
je suis privilégiée
et ordinaire
je me souviens du passé
ou plutôt de l’enfance
comme d’un temps sans histoires
sans réel drame
si ce n’est peut-être
celui de l’ignorance
et même là
je n’en
LA FEMME LION (Esthel) – Parc Molson, 20 juin 2015
Si j'étais un arbre 
Nice post; like the colors.
J’aimeJ’aime
Thanks Harrie.
J’aimeJ’aime
elle est belle la lionne, sourire
J’aimeJ’aime
oui, elle l’est…
sourire et belle fin de journée à toi, irène…
J’aimeJ’aime
Je n’en… ? Intriguant de laisser en suspension. Autrement, Irène a manifestement bon gout…
J’aimeJ’aime
je trouve aussi… sur les deux points…
et merci Francis…
J’aimeJ’aime
Incertain et flottant (dans les deux sens en ce qui me concerne), avec quand même des graines de réalité qui ont germé et dont je vois la pousse. Merci Caroline !
J’aimeJ’aime
Merci Gilles pour ces mots… et notamment pour l’intérêt porté à ce qui germe et pousse…
J’aimeJ’aime
la lionne……les mots……tout y est…….pour me plaire
sourire………Mmmmmmmm
J’aimeJ’aime
la louve……merci……et sourire
J’aimeAimé par 1 personne
Rupture finale … le silence avec audace … le poème se déploie au-dessus du vide …
J’ai aimé cette belle entrée du jour, Caroline.
J’aimeJ’aime
J’en suis touchée, Odile.
J’aimeJ’aime
un beau poème emporté par l’instant et une femme qui passe.
J’aimeJ’aime
un grand merci
J’aimeJ’aime