je naviguais déjà dans ce billet hier
quand j’ai trouvé devant chez moi
un journal intime échappé
quelques pages seulement, un journal naissant
des rêves charnels, des inquiétudes, le regard des autres
et même jusqu’à la soif du père
un cahier comme j’en ai eu tant
un journal d’un temps de rivière
jusqu’au ruisseau pour le trouver
tendre l’oreille aux bruits de l’eau
entre les massifs de pipeaux
et tous ces souffles qu’on semence
pour inspirer la peur du large
et du doux soleil de l’errance
encore après sur la rivière
avancer sur l’humeur des jours
ramer dur et ramer fort
devant tous les brisants du monde
et puis à voile sur le grand fleuve
vers l’estuaire
chanter pour tout le ciel autour
et sur la mer
la voix qui glisse vers l’azur
encore une chanson d’amour
le texte…….et cette photo……….mmmmmmm, suis gâtée aujourd’hui 🙂
J’aimeJ’aime
J’entends, et c’est fort bon, Caroline. Un régal cette chevelure.
J’aimeJ’aime
Elle est si belle cette rivière….celle du temps…celle de la lumière, aussi, jusque dans ce magnifique montage….merci, je savoure doucement…
J’aimeJ’aime
ballotté(e), doucement … ou pas; choisir son altitude ou sa position dans le fleuve … ou être choisi(e); pouvoir faire … ou ne rien pouvoir y faire ! merci Caroline !
J’aimeJ’aime
beaux les mots, les souvenirs, le fil de l’eau, l’onde des cheveux
J’aimeJ’aime
Une traversée enchanteresse, le long d’une cascade capillaire miroitante. Peut on s’abonner ? Y-a-t-il un forfait à l’année ?
J’aimeJ’aime
Fine image; like the colours and the ‘diptych’ and the athmosphere…
J’aimeJ’aime
Deux textes lus en sens inverse de leur parution mais tous deux forts et qui m’ont emportée au fil des mots et des idées, des images et des sensations. Très joli.
J’aimeJ’aime