ma voix n’est celle de personne
et ma route – raboteuse
est celle de l’âme qui s’abandonne
à son errance singulière
elle est mieux éclairée ma route
depuis qu’il m’est venu
qu’à prendre ombrage des autres
je la perdais de vue
RÊVE D’HIVER – Il y a deux jours, rue Rachel
Si j'étais un arbre 
Même les plus solitaires d’entre nous avons besoin de nous confronter aux regards des autres. Tant mieux. Sans eux, il y a quelque chose de morbide qui traîne.
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Il est bon le vent qui me cale dans tes mots, Caroline. Ce que tu dis, j’aurais pu. Histoire de… pour la suite. Que la lumière t’accompagne comme dans ce rêve d’hiver qui me rappelle un conte… mais c’est là autre chose.
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tortueuse à souhait et plongée dans l’ombre souvent. chaque croisement fait grandir un peu. Merci bien, Caroline, et longue route à vous !
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Je dirais des paroles de sagesse…prématurée.
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Le premier quatrain est beau mais le second est magnifique, par l’image et par le sens.
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Très beau !
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Quelques mots bien beaux et bien vrais ! Ce seront mes compagnons pour 2016 ! Merci…
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les sentiers sont là, ouvert à toi, dans cette belle blancheur qu’est l’hiver, trace de demain…quel beau poème, quelle belle image..merci, caroline
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tellement vrai…….ah caroline…………
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tes mots en viatique car ils sonnent les notes qui égayent le coeur sur le chemin du jour
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Poésie de sagesse….
Celle-là m’inspire particulièrement….
Je l’emporte au fond de moi et suis mon chemin….à moi…….
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A soul naked of prejudices that understands the other ones. Is the idea that leave it in my mind. I like the rhythm of shapes in your photograph, it seems to me that the background is the one moving and the couple is walking to don’t be dragged behind.
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Doux et triste, dense et lisse, un petit poème qui court sous la peau comme un frisson …
Merci, Caroline 🙂
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