marcher sans but
c’était le rêve
le tien
le mien aussi
on aurait pu le faire
mais y a eu le reste
les contraintes
le monde
l’ordinaire qui veut vivre
malgré qu’il soit ce qu’il est
ç’aurait duré la vie
c’est pas le genre de choses
dont on veut se remettre
On peut le faire, aller au hasard, avec un stylo sur une feuille blanche … et c’est déjà bien. Un tout doux après-midi, Caroline.
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Like the almost drawn b&w..
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Hier j’ai eu hier un frisson qui m’a parcouru l’échine lorsque j’ai du répondre à la question d’un professionnel de la santé: quel est votre âge cher monsieur? J’ai alors réalisé que je n’avais pas réussi à arrêter le temps lors des « moments si merveilleux » comme le chantait Bécaud.
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..mais j’en suis sûr, on le fait, à notre manière, parce que oui, on ne peut pas s’en remettre, de ce besoin là…sourire…beau réveil caroline
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Ce matin j’entendais à la radio que le but importe peu, c’est le voyage qui compte…alors remettons-nous en route sans cesse ;o)
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Ah, le but dénature la marche, puisqu’elle en devient utile et non pas nécessaire. Comme l’art en quelque sorte.
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La diagonale du rêve pour marquer en noir et blanc le goût de l’aventure et la joie de l’élan …
Merci, Caroline, pour cette belle photographie et les mots qui l’accompagnent.
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