dans l’anonymat des grands vents
et la musique du chaos
dans tous nos feux à corps noués
et ces espaces, même troués
des illusions perdues
dans tout ça, partout
j’entends encore chanter le rêve
comme là, au bout de la nuit
quand verse l’astre blanc sur l’île sombre
même sans dessein ni promesse
car le matin dévore tout
pour l’infiltrée qui s’est éprise
c’est qu’elle se tend, la nuit
s’enroule sans fin, la nuit
plus mystérieuse qu’on ne le sait
elle ressurgit, la nuit
comme le jour
sans besoin de raison
le monde se suffit à lui-même
le reste n’est qu’un morceau de rêve
˜
Photo : PORTE BLEUE- Rue St-Jean, à Québec – Décembre 2016
Cette porte bleue m’en rappelle une qui paraitra bientot sur le blog, un autre bleu, un autre ciel, une autre ville. Merci pour ta passion
J’aimeAimé par 2 personnes
c’est très beau, ce texte irait bien avec une douce musique, bravo!
J’aimeAimé par 2 personnes
Un mot, un seul, Caroline : superbe !
J’aimeAimé par 2 personnes
qu’il est beau ce texte, beau comme ce bleu, ce bleu qui chante la nuit, tes mots qui chantent ce bleu…merci belle caroline, merci pour ce chant…
et que ta journée te soit bien douce
J’aimeAimé par 2 personnes
Beau et bleu nuit.
J’aimeAimé par 1 personne
Très beau poème!
J’aimeAimé par 1 personne
Bleu poésie, bleu rêves, bleu Caroline ;o)
J’aimeAimé par 1 personne
Coucou me revoilou. J’avais besoin de douceur, je suis passée te voir. J’ai bien fait.
J’aimeAimé par 1 personne
ça fait toujours du bien d’entendre chanter du rêve
J’aimeAimé par 1 personne