trois jours que le vent souffle fort
et que l’air est chaud comme je l’aime
mon corps répond à ce temps
comme à la plus belle des caresses
hier soir, dans la cour
le bruissement du vent dans les feuilles
et son souffle sur mon visage
ont fait monter mes larmes
l’éphémère est à la fois doux et cruel
je pleure souvent d’avance
la fin de ce que j’aime
˜
Photo : L’ÂGE DE RAISON – Laurie dans la cour, il y a deux jours.
Si j'étais un arbre 
Douce, touchante aussi cette lecture, mais la photo…aaahhhh…laaa. photo, cette fillette là, je ne sais pas trop pourquoi, mais …😉… .
J’aimeAimé par 2 personnes
La découverte de la paix intérieure amène des larmes, parfois. Sont-ce des larmes de tristesse, provoquées par la proximité du paradis perdu ? À mes yeux, sûrement pas. Je vois bien que les oignons opinent de la pelure. Bises et une toute douce journée à vous, Caroline.
J’aimeAimé par 3 personnes
c’est très joli belle journée…
J’aimeAimé par 1 personne
Joie en blanc et noir…
J’aimeAimé par 1 personne
Beau texte 🕊 Belle journee à Toi 💋
J’aimeAimé par 1 personne
que de tendresse,
dans les mots,
sur la photo,
pour elle, merci, douce caroline..
J’aimeAimé par 1 personne
Joli texte 🙂
J’aimeAimé par 1 personne
Mais souvent l’éphémère est ce qui se cache un temps pour nous surprendre à nouveau
J’aimeAimé par 1 personne
Ah ! Comme je comprends ce que tu écris et toi tu oses le dire, merci !
J’aimeAimé par 1 personne