blanche blanche
et si elle était noire
juste de quoi sourire
en amont d’une rivière
et la vie qui ne tient qu’au moment
d’autant plus quand on naît du bon bord
et le temps qui repasse sans y perdre patience
et le vent sans y perdre le souffle
la lumière qui traverse
que je vois mais si peu
un jour on saura mieux
qu’il fallait manger les tempêtes
∼
Photo : GRAFIGNER LE TEMPS ET L’ESPACE – Hier soir, 17h47
Comme un vol-au-vent mais en beaucoup plus fort ! Merci, Caroline.
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miam et croc! et voilà, finies les tempêtes! quelle bonne idée, caroline 😉
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Tu sais, il faut que je te dise, c’est un effet étrange. Je suis déjà venue voir/lire ton image et tes mots, et j’avais eu une impression. Et là, je reviens et pile poil au même endroit, même impression. Bien sûr, c’est avec la configuration de mon écran. Il y a ton image et son mouvement, je lis tout en scrollant pour suivre le texte, et à un moment, celui-ci exactement « et le temps qui repasse sans y perdre patience », je vois tes mots accompagner le mouvement de l’image, comme s’ils balayaient l’écran. Bien sûr juste dessous il y a le mot souffle, je pense que le cerveau en prend note. Et tout ça, je le sens, tes mots s’animent, l’image les absorbent. C’est tellement, tellement… je n’ai pas de mot, c’est tellement, voilà.
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je suis venue
et revenue
dans cette tempête,
je suis venue
et revenue,
dans cette image aussi,
elles me touchent….
alors merci, douce caroline
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Elle est belle cette idée de manger les tempêtes, certains sont plus aguerris que d’autres suivant les pays qu’ils habitent
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