L’esprit interprète la forme.
Candide, il voit le beau. Morose, il voit le laid.
Et les jours où il est joyeux, c’est qu’il aperçoit le sublime.
Photo : COIN DE RUE – Montréal * Mars 2018
L’esprit interprète la forme.
Candide, il voit le beau. Morose, il voit le laid.
Et les jours où il est joyeux, c’est qu’il aperçoit le sublime.
Photo : COIN DE RUE – Montréal * Mars 2018
oh merci caroline! c’est tellement vrai! alors essayons d’être le plus souvent joyeuxxxxxxxxx
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Où quand j’ai envie de te mettre plein de « like ».
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La beauté est un talent qui appartient à la personne qui regarde. Voir du beau dans les dunes du nord ou dans les rides d’une personne qui en a vu des dures est un bien plus grand talent que les panoramas ou les mannequins à couper le souffle que les magazines glacés ont tendance à étaler. Merci beaucoup pour cette injection d’énergie, Caroline, et une douce et belle journée à toi.
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et tu le touches si souvent,
de ton regard,
de tes mots,
le sublime..
douce journée,
belle caroline
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Apercevoir, c’est déjà beaucoup !
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Et alors qu’est-ce qu’on est bien ;o)
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