je sais l’instable
les jours qui passent sans qu’on y sache
et je sais toi
ton beau regard ailleurs
porté sur l’immuable
saoulée de vent et de désir
je t’entends rire
et je te vois
qui te joues d’elle et la déjoues
jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien
rien à faire résonner
que le jour et l’espace
∼
Photo : LUMIÈRE TENDRE – Fin mars 2018
L’image de présentation de l’article sur le reader est absolument magnifique.
J’aimeAimé par 1 personne
Tu veux dire qu’une autre image apparaît? Je serais bien curieuse de savoir laquelle… parce que dans mon reader à moi, c’est la même… ;o)
J’aimeJ’aime
La photo est vraiment waouh! J’aime le texte également.
J’aimeAimé par 2 personnes
La résonance me fait résonner … et raisonner également, sur l’autre face du disque ! Merci beaucoup, Caroline !
J’aimeAimé par 1 personne
quelle est belle, cette tendre lumière,
quelle douceur..
peut-être celui du rire qui se joue,
ou de l’immuable qui sourit..
merci, douce caroline
J’aimeAimé par 1 personne
Un très beau texte, Caroline, que j’ai lu et relu avec à chaque fois, le même bonheur …
J’aimeAimé par 1 personne
Bel écho entre mots et photo, quelque chose de fragile…
J’aimeAimé par 1 personne