Il y a nos silences.
Ceux-là des fleurs qui poussent dans des jardins souillés.
Et il y a nos guerres.
Mon esprit débridé comme un beau cheval fou m’a fait te parler d’elle.
Après je n’ai plus su si j’aurais dû ou pas.
Et ce matin, je pense aux mots qu’on n’ose pas.
Aux carnets verrouillés de nos peines humaines.
Alors qu’on naît d’un même souffle de douleur et d’extase.
∼
Photo : AVANT D’Y ALLER * Hier, dans le Mile End
« Les carnets verrouillés de nos peines humaines », quelle belle image!
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Elle ressemble à quoi, la clef de verrou ? À un sourire ? À un moment plein de rien ? Bises et grand sourire, Caroline.
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So beautiful in their truth, these words. Of your courage and your heart and the deepest sensibility. When I look back on my regrets, they are vastly of things I didn’t do or say, only a few are of those I did. Thank you, Caroline.
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parler ou pas….telle est la question………et je me la pose très souvent après coup…..comme toi
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С’est beau ensemble et séparés ce texte et cette photo
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Quelle belle image que ces cahiers verrouillés, si belle que j’ai plaisir moi aussi à le dire, à l’emprunter.
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Merci pour tes mots et merci pour le sens que tu leur donnes
Sans que tu le saches, ton texte me touche, tout à l’intérieur de mon coeur
Belle soirée
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Intense comme la course d’un » cheval fou » …
Belle soirée, Caroline !
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