devant toutes les heures
qui succombent
criblées
de nos histoires
mondaines
puissent toujours
le ciel
et le vent
venir à bout de nous
et la nuit
nous ramener
dans les bras de l’aube
Photo : L’ARDEUR DU TEMPS (combien de verts encore) – Mai 2018, Parc Lafontaine, Montréal.
Si j'étais un arbre 
Et l’eau pour le grand nettoyage et une voile pour tirer le marin vers l’autre côté.
Bises, Caroline.
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Quelle belle image : celle de l’espoir que « la nuit nous ramène dans les bras de l’aube »!
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oh ouiiii!
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tremblement de la vie,
souffle du demain,
délicatesse de ce qui sera…sourire
merci, douce caroline
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Une prière? Une bien belle prière…
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Exactement les mots qu’il me fallait avant de poursuivre ma vie 😉
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Les bras de l’aube qui nous tendent des chants d’oiseaux et des senteurs de rosée
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