j’y suis, se dit-elle, comme on est au creux d’un bois
sur un lopin de terre à se vivre
et je pousse la folie, le désir, ou l’amour
jusqu’à croire que rien
n’est jamais perdu, que chaque route, chaque lieu
chaque danse, contient
une histoire à se lire
Photo : BOUT DE PORTE * Montréal 2018
Si j'étais un arbre 
À notre échelle de modestes bipèdes, l’univers est infini dans toutes les directions. Il n’y a de limite ni au talent ni aux émotions. L’art et l’émotion appartiennent à celui et celle qui voient et sentent. Bises, Caroline, et merci fort beaucoup tout plein.
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rien n’est jamais perdu, et chaque route, chaque lieu
chaque danse, contient
bien plus d’une histoire à se lire
🙂
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Et ton bout de porte, j’y vois tant d’ouvertures.
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Brilliant photo, love it!
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quelle sublime photo,
qui résonne si bien avec tes mots,
petit bout de porte,
qui pourtant contient tant..
quelle belle ouverture
vers « la folie, le désir ou l’amour »..
merci tendre toi
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Une histoire à se lire, à se dire, à rire et à chanter d’avec tes si jolis mots
Et de ton beau regard sur le temps et les milles riens de la vie
Qui font tout.
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Ah ! La photo ! L’aventure de chaque jour…
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La photo est très belle. Elle me fait penser à un vitrail de Zao Wou-Ki au prieuré de Saint Cosme
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