Librement la musique. Et nos vents qui se mêlent comme autant de broussailles.
Pendant ce temps, l’hiver est clos et le printemps achève. Nos peines et nos rires monteront d’entre des nuits plus chaudes.
Sous le matin penché, on se retrouvera. Pour se reperdre encore.
Devant le ciel qui danse.
Photo : DANS UN PRESQUE SILENCE – Lac Kénogami, mi-juin 2019
Si j'étais un arbre 
Laissons-nous donc danser la valse du temps, du vent, qui me touche, évidemment, et du lac, puisque nous n’y pouvons mais.
Bise et douceur et sourire, chère Caroline.
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Plaisir du vent et de la musique. Bienvenue à l’été qui arrive.
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ton cher lac………….puisses-tu y retrouver les sabots et la douceur de l’insouciance ……….des gros bisous depuis le ciel qui danse au dessus et dans toutes nos têtes……..
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le ciel danse
sur nos étés
comme il dansait
fraichement
sur nos printemps
il dansera cet automne
et nos rires et nos pleurs
monteront vers lui
merci Caroline pour ces images
qui n’appartiennent qu’à toi
et tu partages si naturellement
avec nous (heureux veinards)
🙂
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Et toujours, il nous restera l’eau et le vent, qui dansent et qui chantent.
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Et dansent tes mots,
Sur les sillons du lac,
Sous ce ciel profond,
Et dansent tes mots,
Jusque dans nos coeurs..
Merci, tendre toi
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