devant l’insaisissable
le solide et l’impénétrable
se payse l’art de la fuite
bienheureuse
d’un seul doigt la lumière
qui s’allume
et l’ombre devient rose
et ma peau, c’est vrai
qui se rapproche du papier
je n’avais pas remarqué, tu vois
ou j’avais oublié
c’est qu’il y a tant de choses belles
et tant de choses que j’oublie
Photo : VIVRE EN DESSOUS DU CIEL – Rue St-Laurent, Mi-août 2019, Montréal
Ta poésie sert à desciller les yeux.
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S’émerveiller !
Bise, Caroline.
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Valse des mots, tendresse du temps qui passe et des ces mots que l’on saisit. Beau week-end Caroline.
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oublier ET (re)trouver………éternelle Valse……..dansons, belle caroline, sur les Vagues de la Vie……
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douceur de la peau,
tendresse du papier,
étrange lumière de l’impénétrable..
ô oui, douce caroline,
tant de choses belles,
tant d’oublis,
et aussi, tant de souvenances..
merci pour les mots,
merci pour la photo..
et tant de tendresse vers ton réveil..
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l’oubli aussi pour cueillir l’instant et l’inconnu qui se présente, se faire vierge pour mieux goûter
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