le vent frais sur mon bras
et mes orteils moins chauds qu’hier
les yeux sur le rideau qui flotte
je sens août qui décline
et nos pas qui se mêlent
s’emmêlent
et nos corps hésitants
qui de qui
de nos âmes danseuses
j’en aurais pris encore
du pesant doux de juillet
encore de ces jours lourds
qui me prennent à moi-même
le temps n’arrête pas sa danse
même sur l’été d’après
le dernier printemps d’elle
Photo : UN QUELQUE CHOSE D’AVANT – Dans le chalet du mont Royal * 16 août 2019, Montréal
Le pesant doux et le peson danse, ce qui en dit long sur la relativité de la gravité !
Bise et douceur, Caroline.
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le temps n’arrête pas sa danse
même sur l’été d’après
le dernier printemps d’elle
et grâce à tes mots je profite de chaque instant comme si c’était le dernier
merci, douce caroline……je t’embrasse
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Danser sur l’instant,
Oser danser de nos corps hésitants,
Qui sait de la danse d’hier ou de demain ?
Te serrer contre mon coeur,
Dans ce matin frais
Qui déjà nous chante
L’automne..
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Fine shot!
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j’écoute au fond du coeur l’absence qui ignore le temps qui passe
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