Lau, dix ans, a enveloppé dans un mouchoir
une de mes pinces à cheveux. Et collé un papier dessus.
« Tu trouveras là-dedans tout ce dont tu as besoin. »
par quelle chance le bleu
et les feuilles qui dansent
tout le ciel resté là
malgré l’écueil glacé
et la peur de nous
la cascade des heures
sur mon coeur qui doute
comme une rivière à vivre
et cette fois encore
le vent qui nous absout
de tant d’indifférence
de quoi me souvenir
devant la lumière folle
et les oiseaux heureux
·
Photo – L’HOMME À VÉLO * Septembre 2020 – Montréal
Bleue toujours la peur de la liberté de l’autre…
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Si beau…
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oui, caroline, les oiseaux sont heureux
j’en suis l’heureuse témoin
ils nous montrent la voie….de loin
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Le rouge arrive à grand pas …
Bise et douceur, Caroline.
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La rosée de glace, les bleus violacent, toujours les oiseaux jacassent.
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