ce jeu toujours
du désir qui s’accroche
les notes même fausses
sur un piano absent
et tout l’infime donné à voir
contre le goût de fuir
la terre y joue de
cicatrices
de tout le beau du poids des pierres
sur les argiles tendres
·
Photo – CE QU’IL NOUS SEMBLE * Hier – Montréal 2020
Si j'étais un arbre 
Ce jeu toujours sans trop se blesser peut-être, une fois sentie la source, la chaleur, le silence apaisant sous tous les tumultes.
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C’est un très beau poème.
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Photo et mots… tout est beau.
Merci Caroline
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« Tendre corde à piano
La joue forte, pizzicato? »
🎹irliton
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la beauté donnée à voir…
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Beau. Très beau.
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Love the shot!
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L’encre indélébile de nos rêves. Merci
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