Je m’habille et me déshabille.
D’autant de mots, c’est tout.
Sur contrebasse seule.
Comme une berceuse pour l’âme.
Un peu tôt pour la vigne peut-être.
Tant qu’il n’y a pas costume, dit-on.
C’est gris dehors. Il y a brume.
Brume et contrebasse.
Tiens, elles vont bien ensemble.
Photo – ARRÊT DE BUS – Plus tôt aujourd’hui, en remontant De Lorimier – Montréal 2020
Une vache qui broute sur un fond de blues, beau mariage aussi 😉
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La grande brume te déshabille
de son paysage d’habitudes.
Un blanche étendue de passage
Reste nue dans le nuage.
Est ce le froid qui approche?
Vas tu lui fermer ta porte?
Amical mirliton
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Bien sûr ! L’univers des possibles, de Cédric Dind-Lavoie, un voisin à toi : https://cedricdindlavoie.bandcamp.com/album/mismar
Bise et douceur et sourire, Caroline.
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Ah! la contrebasse-berceuse….
C’est beau…
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