Ces mots où tu parles du lac.
De la terre, et du désir qui tient.
L’hiver ici bat son plein.
Les jours ressemblent à la neige, soumis à tous les vents.
Chaque matin qui relance le sens à la dérive.
Par la fenêtre, les flocons dégringolent.
Les uns contre les autres. Le sublime qui s’accroche.
Photo : SOIR D’HIVER – Février 2021 * Montréal
Si j'étais un arbre 
La glace, le vent, la neige complices effacent les rives, marcheurs et nageurs se mêlent dans la dérive.
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la neige rend la mémoire inutile. Merci
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Le sublime est dans le regard…
Merci
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Oui, le sublime s’accroche
De tes mots aux souvenances,
Il est là, par dessus l’océan,
D’un coeur vers un autre coeur,
Il erre, il vit…sourire
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Remarkably done.
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