L’os de la joue mille vacarmes autour de la rose –d’y entendre le crimesans y rien pouvoir que l’eaules mots les piedsles marches devenues salesà force de serviret puis l’os de la joue, mais ça c’était avant après c’est tout l’orgueilet le rêve du grand remous PHOTO : ROSE BLANCHE DE GRONDINES – Sur le Chemin du Roy – Juin 2022Partage Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest J’aime chargement… Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) 3 réponses à L’os de la joue Alexandre Poncin 13 juin 2022 à la pointe du rêve c’est un frisson épineux qui traverse. Merveilleux. J’aimeAimé par 1 personne terrain vague 16 juin 2022 En poésie comme en musique, la note est parfois juste. Merci J’aimeAimé par 1 personne rechab 23 juin 2022 A trop jouer de la couleur, je vois sous la rose, la douleur, des poignards sur les tiges fines: j’enquête sur le crime des épines… ! J’aimeAimé par 1 personne Répondre à terrain vague Annuler la réponse.
Alexandre Poncin 13 juin 2022 à la pointe du rêve c’est un frisson épineux qui traverse. Merveilleux. J’aimeAimé par 1 personne
terrain vague 16 juin 2022 En poésie comme en musique, la note est parfois juste. Merci J’aimeAimé par 1 personne
rechab 23 juin 2022 A trop jouer de la couleur, je vois sous la rose, la douleur, des poignards sur les tiges fines: j’enquête sur le crime des épines… ! J’aimeAimé par 1 personne
Si j'étais un arbre 
à la pointe du rêve c’est un frisson épineux qui traverse. Merveilleux.
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En poésie comme en musique, la note est parfois juste. Merci
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A trop jouer de la couleur,
je vois sous la rose, la douleur,
des poignards sur les tiges fines:
j’enquête sur le crime des épines… !
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