Sans trop savoir pourquoi, j’aime ces vieux bâtiments qu’on voit le long des routes, ces vieilles granges surtout, de bois gris. C’est peut-être l’histoire qu’elles racontent en silence.
Puis il y a l’oiseau du matin. La rivière, la mer, et le sens du désir. Ce qui n’arrête jamais vraiment, ni du vent ni de l’âme. Et tout ce qu’on fait quand même pour y brider le jour.
J’ai mal à mon monde qui laisse faire les fous. Et moi qui ne sais faire que l’écrire.
Photo : DANS L’ERRANCE DU TEMPS – Avant-hier, sur la route 327
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Poésie et photographie
(Montréal, Québec)