Je sais nos démesures, et quelques chants qui te consolent. Il reste que tu as raison : malgré mes lieux d’apaisement, mon entêtement est bien vivant. Mais là où j’étais batailleuse, je m’assois plus souvent qu’avant, tranquille dans la rumeur, le regard vers le jour, l’oreille vers le vent et l’oiseau. Je sais mes os remplis d’histoire, ma chair restée teintée de rêves. Je voudrais te dire le chemin, mais ce n’est pas le mien. Ni celui où je t’aime.
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Photo : LA VIEILLE MAISON – Toujours sur la route 327
Mais du poète, et du vivant.
Bise et douceur et sourire, Caroline.
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Merci tisseuse d’amour ;o)
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Ce texte pourtant est un beau chemin
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au bout du voyage
dans la ville alentie
sans même savoir que le ciel nous
observe
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