c’est vague, tout ça –
la mer peut-être
ou ta mère qui sait
le rouge encore caché
au plus près de ta langue
mais si c’est d’écrire pour te vivre
et pour ces traces laissées
en chemins d’espoir et de peine
comment dire les yeux
d’avant les trottoirs durs
et ceux d’après
le frôlement des corps
par l’oiseau peut-être
et la peau tendre des fleurs
Photo : SOUS L’ESCALIER – Ce matin
ou par l’amande dénouée de l’acquiescement….
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Ces mots me touchent tant,
Ma douce amie,
Le rouge,
Le frôlement des corps
Et la peau tendre des fleurs..
Ces mots me touchent tant,
Alors juste,
Merci,
Du fond du coeur, merci..
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comment dire aussi le temps qui va
qui tire la vague au large
et ramène le sable égrené
toujours et encore
pour nos sabliers meurtriers
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Ce poème me frôle aussi, une brisure de rouge, un élan de nostalgie.
J’ai ouvert un petit blog de nouvelles, je ne sais pas s’il deviendra quelque chose :
http://petitesnouvelles.fr
Belle journée,
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« par l’oiseau peut-être
et la peau tendre des fleurs »
et ce couple qui chez toi se plaît……….
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ce pour quoi
sur la table
cette lettre que je ne peux
écrire
Merci
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