Les manques ordinaires Il pleut dehors et tout ça nous ressemble.Le monde comme une fourmilièremais sans mémoire qui vaillede la ligne des fleuves et l’entrée des matins. Avant le temps des muselières, ce qu’elleaurait chanté peut-être. Je grelotte, que veux-tu, et pas parce que l’hiver.Quelque chose de nos manques devenus ordinaires. Photo : LES TURQUOISES DE NOS ÂMES * Montréal – Décembre 2023Partage Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest J’aime chargement… Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) Une réponse à Les manques ordinaires laboucheaoreille 20 décembre 2023 J’aime beaucoup… le premier et le dernier vers résonnent fort ! J’aimeAimé par 1 personne Laisser un commentaire Annuler la réponse.
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J’aime beaucoup… le premier et le dernier vers résonnent fort !
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