Corps de langue et tous ces trottoirs à me faireet ces mots qui me prennent de l’eau pour les feux qui me brûlent j’oublie, tu vois et là, le soleil qui descend moi si infiniment perdueet bienheureuse de l’être amoureuse encore d’une languequi pour autant que je me donnem’arrache parfaitement à moi-même Photo – LE RÊVE DE L’ÉTOURNEAU * Mai 2024 – MontréalPartage Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest J’aime chargement… Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) Répondre à Corps de langue Laisser un commentaire Annuler la réponse.
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