Deus ex machina

Le ciel est d’un beau blanc laiteux. Le grand érable est presque nu. Quelques feuilles s’accrochent encore, certaines y passeront l’hiver. On peut se demander pourquoi elles résistent à ce froid qui fait tomber les autres.
   La rue est noircie par la pluie. Et quelque part autour, il y a l’homme et ses machines. Et ton désir d’y tendre l’âme. Librement, sans trop tendre l’échine.

Photo :  ILS SE PARLAIENT – Hier * Montréal

Répondre à Deus ex machina

Laisser un commentaire