Dans la cour ce matin, comme un parfum de mer. Je sais, c’est impossible. Sans doute le repas d’hier d’un voisin.
Le vent annonce le changement. En attendant, dans ces heures passées à écrire, même quand mes mots sont plats à force de trop vouloir, c’est le même rien qui me cherche. Ce rien comme dans l’envers du monde, l’envers de l’ambition. Comme le tranquille de la feuille, à l’envers de la guerre, de la société des hommes. Ce rien comme dans mon jardin – qui a l’air fou, diraient certains.

Photo – L’IMAGE D’UN DÉPART * Septembre 2025 – Montréal
Le rien et le vide et le temps mort
quel travail pour les rencontrer ;o)
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on dirait
que rien n’a eu lieu
sauf dans ce vide plus clair
où l’air commence
à manquer
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