L’étreinte du virtuel

Je sais qu’on m’en accusera
mais je dirai quand même
que je m’ennuie assez souvent
de ce temps où dans le bus
les yeux se posaient
sur les autres
ou dehors
ou sur les lignes d’un livre
ou d’un journal de papier.

carolinedufour871

2 réponses à L’étreinte du virtuel

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