La route on se perd à chercher la mesure de l’amour qui ne peut en avoir we get lost in searching the measure of love which cannot have any ∼ Photo : TRANQUILLE – Printemps 2016, Montréal Partage Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest J’aime chargement… Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) 10 réponses à La route Gilles l. 18 juin 2016 Si c’est comme les routes de Norvège , c’est plein de belles surprises et parfois vertigineuses comme celle des Trolls parcourue ce matin. J’aimeAimé par 2 personnes Ph.C. 18 juin 2016 Superbe… J’aimeAimé par 2 personnes anne condomine 18 juin 2016 Olala… ❤ J’aimeAimé par 2 personnes 'vy 18 juin 2016 Quand il suffit de s’y confier pour se retrouver. J’aimeAimé par 2 personnes irene tetaz 19 juin 2016 juste merci, parce que c’est beau, si beau… J’aimeAimé par 2 personnes Alice VACHET 20 juin 2016 C’est superbe ! J’aimeAimé par 1 personne Lectures au Coeur 22 juin 2016 Beaucoup de tendresse dans cette photographie pastel comme dans ce texte qui révèle l’amoureuse évidence … Merci, Caroline. J’aimeAimé par 1 personne walachniewicz 27 juin 2016 ça s’appelle l’infini et c’est vertigineux ! J’aimeAimé par 1 personne domicano 29 juin 2016 Merveilleuses couleurs, elle passe sans passer, fait corps avec ce qui l’entoure. Faire corps, un façon d’aimer. J’aimeAimé par 1 personne Fernan Carrière 31 juillet 2016 lorsqu’on cesse de mesurer la route, on risque de s’y perdre… c’est là que commence la découverte J’aimeAimé par 1 personne Répondre à Fernan Carrière Annuler la réponse.
Gilles l. 18 juin 2016 Si c’est comme les routes de Norvège , c’est plein de belles surprises et parfois vertigineuses comme celle des Trolls parcourue ce matin. J’aimeAimé par 2 personnes
Lectures au Coeur 22 juin 2016 Beaucoup de tendresse dans cette photographie pastel comme dans ce texte qui révèle l’amoureuse évidence … Merci, Caroline. J’aimeAimé par 1 personne
domicano 29 juin 2016 Merveilleuses couleurs, elle passe sans passer, fait corps avec ce qui l’entoure. Faire corps, un façon d’aimer. J’aimeAimé par 1 personne
Fernan Carrière 31 juillet 2016 lorsqu’on cesse de mesurer la route, on risque de s’y perdre… c’est là que commence la découverte J’aimeAimé par 1 personne
Si j'étais un arbre 
Si c’est comme les routes de Norvège , c’est plein de belles surprises et parfois vertigineuses comme celle des Trolls parcourue ce matin.
J’aimeAimé par 2 personnes
Superbe…
J’aimeAimé par 2 personnes
Olala… ❤
J’aimeAimé par 2 personnes
Quand il suffit de s’y confier pour se retrouver.
J’aimeAimé par 2 personnes
juste merci, parce que c’est beau, si beau…
J’aimeAimé par 2 personnes
C’est superbe !
J’aimeAimé par 1 personne
Beaucoup de tendresse dans cette photographie pastel comme dans ce texte qui révèle l’amoureuse évidence …
Merci, Caroline.
J’aimeAimé par 1 personne
ça s’appelle l’infini et c’est vertigineux !
J’aimeAimé par 1 personne
Merveilleuses couleurs, elle passe sans passer, fait corps avec ce qui l’entoure. Faire corps, un façon d’aimer.
J’aimeAimé par 1 personne
lorsqu’on cesse de mesurer la route, on risque de s’y perdre… c’est là que commence la découverte
J’aimeAimé par 1 personne