Stupeur et froissement L’esprit disloqué par le poids. Le poids de rien, surtout. Puis un froissement de désir. Pour le corps dans l’espace. Sa lourdeur et sa gravité. Dans des bras, peut-être. Mais aussi. Sur le plancher d’une ville. Ou par le ciel d’une fenêtre. À regarder le temps. Un froissement de désir. Et le monde t’a réapparu. ∼ Photo : IMPRESSION D’OCTOBRE – Hier, rue Laurier * Montréal 2018 Partage Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest J’aime chargement… Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) 9 réponses à Stupeur et froissement gilles l. 6 octobre 2018 Ramène à ma mémoire la chanson de Reggiani: Il suffirait de presque rien… J’aimeAimé par 1 personne Gilles Labruyère 6 octobre 2018 Une nuée sur un carré bleu satisfait le désir du cœur. Le feu dans un coin le réchauffe. La fumée mouvante … l’extase. Bises, Caroline. J’aimeAimé par 2 personnes litterama 6 octobre 2018 Le poids de rien, oui, ça peut être vraiment très lourd. J’aimeAimé par 3 personnes walachniewicz 7 octobre 2018 Le ciel d’une fenêtre et l’échappée du désir je regarde avec toi ;o) J’aimeAimé par 1 personne vella christine 10 octobre 2018 le poids de tes mots…merci 😉 J’aimeAimé par 1 personne Jeandesantec 13 octobre 2018 j’aime beaucoup…c’est très beau J’aimeAimé par 1 personne irene tetaz 14 octobre 2018 et le bleu qui ose, qui ose le doré, pour que jamais on l’oublie, le désir.. merci, tendre toi J’aimeAimé par 1 personne cecilecamatte 15 octobre 2018 Belles paroles sur le désir. ❤️ J’aimeAimé par 1 personne walachniewicz 1 novembre 2018 le plancher d’une ville et le ciel d’une fenêtre, désir et plaisir des mots J’aimeAimé par 1 personne Répondre à Jeandesantec Annuler la réponse.
gilles l. 6 octobre 2018 Ramène à ma mémoire la chanson de Reggiani: Il suffirait de presque rien… J’aimeAimé par 1 personne
Gilles Labruyère 6 octobre 2018 Une nuée sur un carré bleu satisfait le désir du cœur. Le feu dans un coin le réchauffe. La fumée mouvante … l’extase. Bises, Caroline. J’aimeAimé par 2 personnes
litterama 6 octobre 2018 Le poids de rien, oui, ça peut être vraiment très lourd. J’aimeAimé par 3 personnes
walachniewicz 7 octobre 2018 Le ciel d’une fenêtre et l’échappée du désir je regarde avec toi ;o) J’aimeAimé par 1 personne
irene tetaz 14 octobre 2018 et le bleu qui ose, qui ose le doré, pour que jamais on l’oublie, le désir.. merci, tendre toi J’aimeAimé par 1 personne
walachniewicz 1 novembre 2018 le plancher d’une ville et le ciel d’une fenêtre, désir et plaisir des mots J’aimeAimé par 1 personne
Ramène à ma mémoire la chanson de Reggiani: Il suffirait de presque rien…
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Une nuée sur un carré bleu
satisfait le désir du cœur.
Le feu dans un coin le réchauffe.
La fumée mouvante … l’extase.
Bises, Caroline.
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Le poids de rien, oui, ça peut être vraiment très lourd.
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Le ciel d’une fenêtre et l’échappée du désir
je regarde avec toi ;o)
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le poids de tes mots…merci 😉
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j’aime beaucoup…c’est très beau
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et le bleu qui ose,
qui ose le doré,
pour que jamais on l’oublie,
le désir..
merci, tendre toi
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Belles paroles sur le désir. ❤️
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le plancher d’une ville et le ciel d’une fenêtre, désir et plaisir des mots
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