L’esprit disloqué par le poids.
Le poids de rien, surtout.
Puis un froissement de désir.
Pour le corps dans l’espace.
Sa lourdeur et sa gravité.
Dans des bras, peut-être.
Mais aussi.
Sur le plancher d’une ville.
Ou par le ciel d’une fenêtre.
À regarder le temps.
Un froissement de désir.
Et le monde t’a réapparu.
∼
Photo : IMPRESSION D’OCTOBRE – Hier, rue Laurier * Montréal 2018
Ramène à ma mémoire la chanson de Reggiani: Il suffirait de presque rien…
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Une nuée sur un carré bleu
satisfait le désir du cœur.
Le feu dans un coin le réchauffe.
La fumée mouvante … l’extase.
Bises, Caroline.
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Le poids de rien, oui, ça peut être vraiment très lourd.
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Le ciel d’une fenêtre et l’échappée du désir
je regarde avec toi ;o)
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le poids de tes mots…merci 😉
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j’aime beaucoup…c’est très beau
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et le bleu qui ose,
qui ose le doré,
pour que jamais on l’oublie,
le désir..
merci, tendre toi
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Belles paroles sur le désir. ❤️
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le plancher d’une ville et le ciel d’une fenêtre, désir et plaisir des mots
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