Pour I.
Tu as raison.
Certains moments nous paraissent
plus justes que d’autres.
On sent qu’on y aimera mieux.
Qu’on saura mieux y dire.
La beauté qui nous tient.
L’amour qui nous habite.
Le savoir qu’on existe.
Dans le jour de l’autre.
Au creux des heures.
Et du cœur.
Je voudrais mourir au printemps.
Pour la couleur de la peine.
À côté des bourgeons.
Photo : PORTE DU GARDE-MANGER – 8 mai 2019 * Montréal
Des mots gorgés de soleil
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Le moment juste, l’endroit juste, la distance juste … la parole juste.
Bise et heureuse journée, Caroline.
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Au petit creux du creux
à l’envers de nos envies
dans les bourgeons qui cuisent leurs formes
et puis les nôtres qui s’étiolent
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et juste-là,
un bourgeon de tendresse vient de s’éclore..
il va me faire ruisseler,
doucement,
dans le sommeil..
merci, tendre toi..
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Tellement… tellement…… ouf! 💖Merci Caroline
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en y réfléchissant je crois que j’aimerais aussi mourir au printemps……..pour être ‘déjà’ dans la re-naissance…….merci de m’avoir ouverte à ce possible…..des bisous-tendresse
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Lecture chavirante, tellement touchante. Merci, Caroline
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