le tissu blanc qui s’épaissit
et j’ai le temps
l’hiver peut y aller de sa neige
de son mordant jusqu’à la moelle
mais ces trous dans nos paysages
ces horizons creux de rochers
l’azur béant, l’amour géant
pareil aux circonstances d’oiseaux
me reste ton regard parlant
éperdument beau et perdu
qui se mêle à la lune
Photo – QUIET SNOW * Décembre 2019 – Montréal
Ta poésie me touche vraiment beaucoup…
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Les circonstances d’oiseaux
Sont des poèmes saisonniers
Avec des becs qui crient béants
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Voir du beau là où il n’y a plus rien à voir …
Bise et douceur, Caroline.
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Regard perdu,
Posé sur le blanc de l’hiver,
Regard perdu,
Juste-là,
Soufflé par la danse de flamme,
Flamme de bougie,
Flamme de vie…
Un sourire si doux vers ton réveil,
Ma si tendre amie
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