Le vieux bois, les vieilles marches.
Et les pieds qui reposent.
De toute manière, entre la langue qui se défait
et l’instrument de l’heure,
la pâleur du temps y dit déjà tout ce qu’il faut.
On court après l’étreinte, l’orfèvrerie des fleuves.
Et on rêve de sevrer les gourmands de la cour.
Le soleil effleure un nuage.
J’attends qu’on vienne me chercher.
Photo : L’IDÉE DU VENT – Juin 2024 * Petite Nation
C’est très beau…
Mais cette beauté peut-elle accepter une telle souffrance ?
Je voudrais vous accompagner…au moins quelques instants
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Je n’ai pas trouvé comment faire écho à vos mots, Gabriel, mais je vous en remercie.
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N’attends pas trop…
on ne sait jamais ( avec le vieux bois )
le temps révolu,
le bois vermoulu…
R
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et toi se dira-t-il
entends-tu aussi bruisser
le vieux bois / ressens-tu
l’étreinte de cette main hier
posée sur ta poitrine?
(Meeerci)
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