Depuis la chambre Du rouge sur les mots. Comme sur les lèvres.Et l’étrange qui m’aide à vivre. Tout arrive en désordre avec les vents du jour.Même l’hésitation.De quoi donner au froid le plus vif de moi. On partira à rire. L’hiver s’emporte et la neige s’empile.Jusqu’aux flocons qui chantent sur mes joues. Photo : DANS LES BRAS DE L’HIVER * Hier – MontréalPartage Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest J’aime chargement… Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) Une réponse à Depuis la chambre terrain vague 1 février 2025 les jours se perdent les jours se perdent dans le courant d’air même l’attente n’a plus de quoi offrir au vent un éclat de fièvre (merci) J’aimeAimé par 2 personnes Laisser un commentaire Annuler la réponse.
terrain vague 1 février 2025 les jours se perdent les jours se perdent dans le courant d’air même l’attente n’a plus de quoi offrir au vent un éclat de fièvre (merci) J’aimeAimé par 2 personnes
les jours se perdent
les jours se perdent
dans le courant d’air
même l’attente
n’a plus de quoi offrir
au vent
un éclat de fièvre
(merci)
J’aimeAimé par 2 personnes