Elle tombait folle bleu doux, bleu d’hiveret voilures blanches et toujours une autre lumière déserter –mais pas la neigequi tombe folle ni le vent qui s’en mêle le monde a beau tournercomme un moulin sans eau y a l’amourdans le sens des rivières Photo : FEMMES DANS LA PIERRE * Novembre 2025 – MontréalPartage Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest J’aime chargement… Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) 4 réponses à Elle tombait folle Diane Cardinal 1 month ago ai-je perdu la boucle d’or à mon oreille celle d’entendre le féminin dans l’invisible/visible le grand étonnement de réparer ce qui semble brisé la joie de chaque habitat de l’amour haute la tendresse des petits pains à partager près du four brûlant J’aimeAimé par 1 personne Caroline D – Auteur 1 month ago Merci, Diane… J’aimeJ’aime walachniewicz 1 month ago Et que débordent les rivières… J’aimeAimé par 1 personne Caroline D – Auteur 1 month ago Oui… J’aimeJ’aime Répondre à Caroline D Annuler la réponse.
Diane Cardinal 1 month ago ai-je perdu la boucle d’or à mon oreille celle d’entendre le féminin dans l’invisible/visible le grand étonnement de réparer ce qui semble brisé la joie de chaque habitat de l’amour haute la tendresse des petits pains à partager près du four brûlant J’aimeAimé par 1 personne
ai-je perdu la boucle d’or à mon oreille
celle d’entendre le féminin dans l’invisible/visible
le grand étonnement de réparer ce qui semble brisé
la joie de chaque habitat de l’amour
haute la tendresse
des petits pains à partager près du four brûlant
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Merci, Diane…
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Et que débordent les rivières…
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Oui…
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