C’en est un autre beau.
Parmi ceux qui règnent silencieusement sur la ville.
Sur une belle rue de Rosemont.
Je l’admire, chaque fois que je reviens de chez ma mère.
Il est époustouflant.
Encore ce matin, je pense à ma soeur.
Je pars chez mon oncle, comme tous les lundis.
J’essaie de me débrouiller avec cette sensibilité
qui semble être à la fois ma force et ma faille.
Mes branches intérieures, comme celles d’un arbre.
Et la foudre parfois qui frappe.
Et le vent qui fouette.
Je t’aime, ma soeur.

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