Pour G.
désormais si tu tombes
l’habitude y mêlera du vent
on voudrait, après autant de neiges fondantes
te savoir assis tranquille au bord de l’infini
heureusement qu’à défaut des mots
t’as les yeux pour le dire
en attendant je marche
au gré de cette ville que tu connais par coeur
une ville folle comme ses hivers
et belle comme ses printemps
ta drogue douce et la mienne
Photo : LA POÉSIE DES TROTTOIRS – Mars 2019 * Montréal
Marcher en ville … ne serait-ce que pour clamer que la Terre était aux êtres avant d’être livrée aux machines.
Bise et doux printemps, Caroline.
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Drogue douce que tes mots qui me font imaginer Montréal que je ne connais pas avec tant de sensibilité et de poésie. 🥰
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Caroline, tes mots en disent plus que tous les reportages sur ta belle ville. Tu réussis le tour de force de mettre dans tes images autant de poésie que dans tes mots. Envoûtant !
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juste te dire merci,
les larmes aux yeux…
et cette drogue,
qui passe par delà la grande bleue,
là, juste avant de m’endormir…sourire
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Larmes devant l’inéluctable
Rires au renouvellement des saisons
mort, vie, mort, vie…
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