Le vent et la faille la tête près du genou c’est le matin la neige n’a pas fondu chavire, qu’elle entend laisse faire le vent et la faille le jour t’attrapera, qui t’a tirée vers l’aube l’hiver est un long port blanc de remous et de rives Photo – AU GRÉ DE NOS HISTOIRES * Un instant d’hiver – Montréal 2020 Partage Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest J’aime chargement… Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) 3 réponses à Le vent et la faille barbarasoleil 7 janvier 2020 On entend les crieuses d’herbes au loin… J’aimeAimé par 1 personne Gilles Labruyère 7 janvier 2020 Le café noir et la neige blanche, l’antagonisme vient de la descendance fractale du grand cycle. Douceur et sourire, Caroline J’aimeAimé par 1 personne denisegirardsoupir 26 janvier 2020 Toujours, grand bien me fait, de te lire. Merci, Caroline, pour tes mots, tout en douceur. J’aimeAimé par 1 personne Répondre à denisegirardsoupir Annuler la réponse.
Gilles Labruyère 7 janvier 2020 Le café noir et la neige blanche, l’antagonisme vient de la descendance fractale du grand cycle. Douceur et sourire, Caroline J’aimeAimé par 1 personne
denisegirardsoupir 26 janvier 2020 Toujours, grand bien me fait, de te lire. Merci, Caroline, pour tes mots, tout en douceur. J’aimeAimé par 1 personne
On entend les crieuses d’herbes au loin…
J’aimeAimé par 1 personne
Le café noir et la neige blanche,
l’antagonisme vient de la descendance fractale
du grand cycle.
Douceur et sourire, Caroline
J’aimeAimé par 1 personne
Toujours, grand bien me fait, de te lire. Merci, Caroline, pour tes mots, tout en douceur.
J’aimeAimé par 1 personne