De quoi me vivre sur des sentiers intimes, je parcours le monde sans même que sous mes pas la poussière ne lève dans des passages étroits, je touche l’infini ardent jusqu’en la rouille d’un pétale et sa fleur sur le chemin des heures, je trouve de quoi me vivre Photo – COULOIR * Février 2020 – Montréal Partage Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest J’aime chargement… Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) 3 réponses à De quoi me vivre Francine Hamelin 6 mars 2020 💙💙💙 J’aimeAimé par 1 personne Gilles Labruyère 6 mars 2020 Vivent les passages étroits, les passages peu emprunté, les passages qui se cachent. Bise et douceur, Caroline. J’aimeAimé par 2 personnes irene tetaz 7 mars 2020 Errance de la rouille sur le bord de la fleur, Errance des passages étroits, Vers l’amitié des regards… J’aimeAimé par 1 personne Répondre à Gilles Labruyère Annuler la réponse.
Gilles Labruyère 6 mars 2020 Vivent les passages étroits, les passages peu emprunté, les passages qui se cachent. Bise et douceur, Caroline. J’aimeAimé par 2 personnes
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💙💙💙
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Vivent les passages étroits, les passages peu emprunté, les passages qui se cachent.
Bise et douceur, Caroline.
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Errance de la rouille sur le bord de la fleur,
Errance des passages étroits,
Vers l’amitié des regards…
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