J’écris avant tout pour me libérer, desserrer quelque chose qui tend chaque jour à se serrer. Et je trouve sous mes pas par une sorte de miracle des fragments de beauté à la traîne. Jusque dans le noir à l’état de charbon, des éclats calcinés.
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Photo : FENÊTRE – Hier, rue St-Viateur – Montréal
Si j'étais un arbre 
La beauté vient aussi avec les mots qu’on laisse sortir de soi. Merci Caroline
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I am utterly grateful for you and your writing.
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Flammes de peu de bois
Tu t’en vas en fumée
& laisses en traces tes pieds
En remarques dans la cendre.
Âmirliton
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Beauté de la profondeur du noir,
Cendres d’un demain
Où l’étreinte sera de nouveau en vie..sourire
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dans le silence
des mots sans même savoir
ce que l’on cherche
(merci)
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