Un coup d’eau indécent, si la chose se peut.
Toujours est-il que j’ai oublié quelques pages au milieu du jardin.
Pas regardé le ciel. Pas vu venir l’orage.
Quelques lignes perdues. Des aboiements de plume.
J’y sublimais le gros des revers mondains.
Par chance le jour s’écrit même au mouillant du monde.
Et au plus fort des gouttes, j’ai marché vers chez toi.
Et j’ai laissé exprès mon parapluie chez moi.

Photo : LA FEMME CHAT * Juillet 2021 – Montréal
De l’eau dans les plumes
et des nids dans tes cheveux
Petiots pépient l’ami attendri
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J’ai toujours aimé comment la pluie faisait pleurer l’encre des mots. Peut-être le graphiste en moi. Ou le coeur râpé.
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Love the way things almost nebulize..
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Larmes du ciel comme des brouilleurs d’âme
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La pluie lave du sale et chante le beau.
Bise et douceur, Caroline.
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Des frissons à vous lire, ces lignes ne craignent plus l’averse. Merci.
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