Tes yeux qui vont du rideau blanc, qui pend là depuis tant d’années, à cette toile étrange achetée un jour de pluie battante et appuyée au mur dans la petite bibliothèque. Les plantes, les livres et le chat de papier mâché. Et le petit bouddha offert par l’ami tendre.
C’est vrai que tout se voit, comme là, le matin, les oiseaux. Le temps ne sait pas faire semblant. Ni ce vent d’âme, toujours en fugue. À force de valser d’errance, de langue d’aube et de rivière, de n’y sentir jamais vraiment que la seule eau du coeur.

Photo : EN ALLANT VERS LE SOIR * Juillet 2021 – Laurentides
Mais c’est la seule qui compte, qui coule et qui conte.
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Je me sens bercé avec vous sur la barque menant sur un cours lucide de tranquillité. Votre texte et son écho photographique sont sublimes de simplicité.
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De valse en fugue, j’aime !
Bise et douceur, Caroline.
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Puissions-nous appartenir au temps. Merci
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