La sidération

Depuis l’étreinte du matin, à peine le bruit d’une feuille qui se détacherait de l’arbre mais le même piano.

Gaby qui n’y arrivait plus – évidemment c’était un rêve.

Le poème sans rien y vouloir que de m’y trouver vive.

Longtemps ce qui s’y fait de nous. De chercher ensuite à demeure la mémoire de l’aube.

Photo :  LA BELLE – Montréal – Janvier 2024

2 réponses à La sidération