On se fait une idée de la valse invisible.
Même si dans l’infini, comme le chante Margot,
toutes les dents y tombent, les leurs comme les nôtres.
Dis-moi sinon : de la gorge serrée ou la rose fanée,
laquelle se demande si c’est elle ou le monde ?
D’autant que là où il était question d’oiseaux,
avant que tu tournes la page, j’ai lu pleurs au lieu de pâleurs.
Quand même ici, par les lèvres ouvertes du vent, j’arrive à sentir l’océan.
Raison de plus d’aimer l’orage.
Ne manque plus que le tableau.

Photo : UN CANARD – Juillet 2024 * Laurentides
Personne n’a jamais réussi à faire taire le vent
Bise, douceur et sourire, Caroline
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Pleurs au lieu de pâleurs… j’adore.
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qui est cette Margot,
quelle est cette chanson ?
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Cher Carnets,
Bien sûr, il y a Margot…
Je viens de créer une « catégorie »… ce que je ne pense jamais à faire.
De quoi éclairer les lanternes. De dodos et autres passants.
Merci d’en être.
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Merci Caroline pour la « catégorie » je viens de rattraper mon retard en matière de Margot 😉
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Depuis quelques jours
le vent dépose
des baisers de tilleul
lèvres fleuries
pâlies de pollen
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