Pied berger

une fois d’infinité tendresse sont tes larmes
d’y reprendre l’histoire ni au début ni à la fin

– C’est lourd d’être le poids, répond Clara, ou de croire qu’on l’est. C’est ça, tu vois.
– C’est le monde qui t’aspire, dit Maude. Moi j’y vois toi. Sur le versant de nous.

Loin des plateaux et de ces chansons qui endorment, un autre pied berger pour y tenir le corps. Tout effacer encore pour toujours tout refaire.  

Ou les rivières de notre humanitude.

Photo : LE PRINTEMPS DE NOS ÂMES * Avant-hier – Montréal

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